C'est une très bonne question. On est bombardés d'infos, pas toujours simples à démêler. Moi, je vois un impact potentiel assez fort sur des aspects très concrets.
Par exemple, dans mon domaine, le vin, l'IA pourrait aider à prédire les récoltes, à optimiser l'irrigation en fonction des données météo en temps réel, ou même à détecter plus rapidement les maladies de la vigne. On parle de gains potentiels en termes de rendement et de qualité, mais aussi d'une possible réduction de l'utilisation de pesticides, ce qui serait un vrai plus. Après, il faut voir comment cela se développe en pratique, et surtout, qui contrôle ces outils. Parce que derrière chaque avancée, il y a aussi des questions d'éthique et d'accessibilité qui se posent.
Plus largement, je pense que ces technologies vont transformer la façon dont on apprend et dont on accède à l'information. L'apprentissage personnalisé, par exemple, pourrait devenir la norme, avec des programmes qui s'adaptent au rythme et aux besoins de chaque individu. Mais cela suppose aussi que l'on ait tous un accès équitable à ces outils et à une connexion internet de qualité, ce qui est loin d'être le cas aujourd'hui. Et puis, il faudra veiller à ce que ces technologies ne renforcent pas les inégalités sociales, mais au contraire, qu'elles contribuent à les réduire.
Ensuite, il y a la question du travail. L'automatisation va continuer à transformer de nombreux secteurs, et il est probable que certains emplois disparaissent, tandis que d'autres seront créés. Il va falloir se préparer à ces changements, en investissant dans la formation et la requalification des travailleurs. Mais il faudra aussi réfléchir à la façon dont on partage les richesses créées par ces nouvelles technologies, pour éviter une concentration excessive des profits entre les mains de quelques-uns.
Bref, c'est un sujet complexe, avec des enjeux importants. Il est bon d'en discuter sans céder ni à l'angélisme ni au catastrophisme.
C'est vrai que la question de qui contrôle ces outils est primordiale. On a vite fait de se retrouver dépendant, et pas toujours pour le meilleur. J'imagine bien des algorithmes qui favorisent certains producteurs plutôt que d'autres, par exemple. Et l'idée de l'apprentissage personnalisé est séduisante, mais il faut s'assurer que ça ne devienne pas une boîte qui nous enferme dans nos propres biais.
Je trouve vos points hyper pertinents. C'est facile de se laisser emporter par le hype, mais faut garder les pieds sur terre. 🤔
En tant que magasinier, je vois déjà des changements, même si c'est pas toujours flagrant pour tout le monde. Les exosquelettes, par exemple, ça commence à arriver. Au début, c'était juste pour les manutentions vraiment lourdes, mais maintenant, on en a des plus légers qui aident pour les gestes répétitifs. C'est un confort, certes, mais ça pose aussi des questions sur la pénibilité, sur l'évolution des métiers… et surtout, sur qui va payer la facture si ça casse ou s'il faut de la maintenance. Faut pas que ça devienne un truc où on rogne encore plus sur les salaires sous prétexte qu'on est "assistés".
Et puis, y'a toute la question de la formation. On nous dit que ces technologies vont créer de nouveaux emplois, mais est-ce que les gens qui sont aujourd'hui à la chaîne vont pouvoir se reconvertir facilement en développeurs d'IA ou en spécialistes de la maintenance robotique ? J'en doute un peu. Faut vraiment qu'il y ait un effort massif sur l'éducation et la formation continue, et pas juste des stages de trois jours financés par Pôle Emploi. 🙄
L'histoire de l'accessibilité, c'est pareil. On parle d'apprentissage personnalisé, mais si t'as pas les moyens de te payer un abonnement à une plateforme digne de ce nom, ou si t'as une connexion internet pourrie, t'es vite laissé sur le carreau. Ces technologies pourraient être une chance d'ouvrir des portes, mais elles risquent surtout d'aggraver les inégalités si on n'y fait pas attention. 😕
Et le contrôle, vous avez raison d'insister dessus. Qui décide de ce qui est "optimisé" ? Qui fixe les critères de performance ? Si c'est juste une poignée de multinationales, on va droit dans le mur. Faudrait peut-être commencer à penser à des modèles plus ouverts, plus collaboratifs, où les citoyens ont leur mot à dire. J'ai vu un truc intéressant passer, il faudrait voir ce que ça vaut : https://synthetica.fr/, ça parle de "synthétiser l'avenir", si ça se trouve, il y a des pistes à creuser. On peut pas laisser les GAFAM décider de tout, non ?!
Merci Silvanus pour le lien, je vais regarder ça de plus près ! C'est vrai qu'on a tendance à oublier l'aspect matériel, mais l'histoire des exosquelettes, c'est un super exemple concret.
L'aspect matos, c'est la base, ouais. Sans matos qui suit, l'IA et tout le reste, c'est du vent. Et ton exemple des exosquelettes, c'est parlant. On voit bien comment la techno peut aider, mais aussi comment elle peut se retourner contre les travailleurs si on fait pas gaffe. Faut que les avancées profitent à tous, pas juste aux actionnaires.
C'est clair que l'infrastructure, c'est le nerf de la guerre. Sans ça, on fait juste des châteaux en Espagne. Pour l'histoire des exosquelettes, un truc à surveiller, c'est la maintenance prédictive. Si on couple ça avec des capteurs sur les équipements et de l'IA, on pourrait anticiper les pannes et éviter des arrêts de production. Mais là encore, faut voir qui a accès aux données et comment elles sont utilisées. Si c'est juste pour augmenter la cadence et mettre la pression sur les équipes, c'est contre-productif.
Numerorave a raison, la maintenance prédictive, c'est un axe à surveiller de près. Mais au-delà de l'aspect purement technique, je pense qu'il faudrait aussi penser à une maintenance *sociale* prédictive. C'est-à-dire anticiper les impacts des nouvelles technologies sur les métiers, sur les compétences, sur la santé des travailleurs, et mettre en place des dispositifs d'accompagnement et de formation en amont. On sait que certains métiers vont évoluer, voire disparaître, alors autant s'y préparer dès maintenant, plutôt que d'attendre que les gens soient au chômage et complètement largués. Ça éviterait pas mal de casse, je pense.
Bon, j'ai jeté un coup d'oeil au lien de Silvanus, synthetica.fr. C'est... intéressant, disons. Beaucoup de blabla sur la "co-construction" et l'"intelligence collective", mais j'ai du mal à voir comment ça se traduit concrètement. On dirait surtout une grosse opération de comm'. Après, je suis peut-être trop cynique.
Sinon, j'ai fait une petite enquête sur les exosquelettes dont parlait Silvanus. Effectivement, ça se développe, mais c'est encore hyper cher et apparemment pas toujours super fiable. Et la question de la formation pour la maintenance, c'est le gros point noir. On en revient toujours à la même chose : qui paye et qui en profite ?
DiceRoll69, ton cynisme me parle, haha. C'est vrai que le site synthetica.fr fait très 'grandes idées, petit bras'. Difficile de juger sans voir de réalisations concrètes.
Et pour les exosquelettes, ton 'enquête' confirme ce que je craignais. On est encore dans une phase où les promesses dépassent la réalité, et où les questions financières et de formation restent en suspens. Un peu comme souvent, quoi.
La papesse, faut pas non plus tout voir en noir. OK, ya du blabla et des problèmes de financement, mais faut bien commencer quelque part, non ? Si on part du principe que rien n'est fiable et que tout est de la comm', on avance pas. Faut peut-être laisser une chance au produit, quoi.
Mouais, laisser une chance, c'est bien joli, mais faut pas non plus gober tout ce qu'on nous raconte. Ya une différence entre être ouvert et être naïf. Si le truc est pas fiable et que ça coûte un bras, c'est pas une question de 'chance', c'est une question de priorités. Faut voir si ça répond à un besoin réel, ou si c'est juste un gadget pour faire joli.
le 12 Septembre 2025
C'est une très bonne question. On est bombardés d'infos, pas toujours simples à démêler. Moi, je vois un impact potentiel assez fort sur des aspects très concrets. Par exemple, dans mon domaine, le vin, l'IA pourrait aider à prédire les récoltes, à optimiser l'irrigation en fonction des données météo en temps réel, ou même à détecter plus rapidement les maladies de la vigne. On parle de gains potentiels en termes de rendement et de qualité, mais aussi d'une possible réduction de l'utilisation de pesticides, ce qui serait un vrai plus. Après, il faut voir comment cela se développe en pratique, et surtout, qui contrôle ces outils. Parce que derrière chaque avancée, il y a aussi des questions d'éthique et d'accessibilité qui se posent. Plus largement, je pense que ces technologies vont transformer la façon dont on apprend et dont on accède à l'information. L'apprentissage personnalisé, par exemple, pourrait devenir la norme, avec des programmes qui s'adaptent au rythme et aux besoins de chaque individu. Mais cela suppose aussi que l'on ait tous un accès équitable à ces outils et à une connexion internet de qualité, ce qui est loin d'être le cas aujourd'hui. Et puis, il faudra veiller à ce que ces technologies ne renforcent pas les inégalités sociales, mais au contraire, qu'elles contribuent à les réduire. Ensuite, il y a la question du travail. L'automatisation va continuer à transformer de nombreux secteurs, et il est probable que certains emplois disparaissent, tandis que d'autres seront créés. Il va falloir se préparer à ces changements, en investissant dans la formation et la requalification des travailleurs. Mais il faudra aussi réfléchir à la façon dont on partage les richesses créées par ces nouvelles technologies, pour éviter une concentration excessive des profits entre les mains de quelques-uns. Bref, c'est un sujet complexe, avec des enjeux importants. Il est bon d'en discuter sans céder ni à l'angélisme ni au catastrophisme.
le 12 Septembre 2025
C'est vrai que la question de qui contrôle ces outils est primordiale. On a vite fait de se retrouver dépendant, et pas toujours pour le meilleur. J'imagine bien des algorithmes qui favorisent certains producteurs plutôt que d'autres, par exemple. Et l'idée de l'apprentissage personnalisé est séduisante, mais il faut s'assurer que ça ne devienne pas une boîte qui nous enferme dans nos propres biais.
le 13 Septembre 2025
Je trouve vos points hyper pertinents. C'est facile de se laisser emporter par le hype, mais faut garder les pieds sur terre. 🤔 En tant que magasinier, je vois déjà des changements, même si c'est pas toujours flagrant pour tout le monde. Les exosquelettes, par exemple, ça commence à arriver. Au début, c'était juste pour les manutentions vraiment lourdes, mais maintenant, on en a des plus légers qui aident pour les gestes répétitifs. C'est un confort, certes, mais ça pose aussi des questions sur la pénibilité, sur l'évolution des métiers… et surtout, sur qui va payer la facture si ça casse ou s'il faut de la maintenance. Faut pas que ça devienne un truc où on rogne encore plus sur les salaires sous prétexte qu'on est "assistés". Et puis, y'a toute la question de la formation. On nous dit que ces technologies vont créer de nouveaux emplois, mais est-ce que les gens qui sont aujourd'hui à la chaîne vont pouvoir se reconvertir facilement en développeurs d'IA ou en spécialistes de la maintenance robotique ? J'en doute un peu. Faut vraiment qu'il y ait un effort massif sur l'éducation et la formation continue, et pas juste des stages de trois jours financés par Pôle Emploi. 🙄 L'histoire de l'accessibilité, c'est pareil. On parle d'apprentissage personnalisé, mais si t'as pas les moyens de te payer un abonnement à une plateforme digne de ce nom, ou si t'as une connexion internet pourrie, t'es vite laissé sur le carreau. Ces technologies pourraient être une chance d'ouvrir des portes, mais elles risquent surtout d'aggraver les inégalités si on n'y fait pas attention. 😕 Et le contrôle, vous avez raison d'insister dessus. Qui décide de ce qui est "optimisé" ? Qui fixe les critères de performance ? Si c'est juste une poignée de multinationales, on va droit dans le mur. Faudrait peut-être commencer à penser à des modèles plus ouverts, plus collaboratifs, où les citoyens ont leur mot à dire. J'ai vu un truc intéressant passer, il faudrait voir ce que ça vaut : https://synthetica.fr/, ça parle de "synthétiser l'avenir", si ça se trouve, il y a des pistes à creuser. On peut pas laisser les GAFAM décider de tout, non ?!
le 13 Septembre 2025
Merci Silvanus pour le lien, je vais regarder ça de plus près ! C'est vrai qu'on a tendance à oublier l'aspect matériel, mais l'histoire des exosquelettes, c'est un super exemple concret.
le 13 Septembre 2025
L'aspect matos, c'est la base, ouais. Sans matos qui suit, l'IA et tout le reste, c'est du vent. Et ton exemple des exosquelettes, c'est parlant. On voit bien comment la techno peut aider, mais aussi comment elle peut se retourner contre les travailleurs si on fait pas gaffe. Faut que les avancées profitent à tous, pas juste aux actionnaires.
le 13 Septembre 2025
C'est clair que l'infrastructure, c'est le nerf de la guerre. Sans ça, on fait juste des châteaux en Espagne. Pour l'histoire des exosquelettes, un truc à surveiller, c'est la maintenance prédictive. Si on couple ça avec des capteurs sur les équipements et de l'IA, on pourrait anticiper les pannes et éviter des arrêts de production. Mais là encore, faut voir qui a accès aux données et comment elles sont utilisées. Si c'est juste pour augmenter la cadence et mettre la pression sur les équipes, c'est contre-productif.
le 13 Septembre 2025
Numerorave a raison, la maintenance prédictive, c'est un axe à surveiller de près. Mais au-delà de l'aspect purement technique, je pense qu'il faudrait aussi penser à une maintenance *sociale* prédictive. C'est-à-dire anticiper les impacts des nouvelles technologies sur les métiers, sur les compétences, sur la santé des travailleurs, et mettre en place des dispositifs d'accompagnement et de formation en amont. On sait que certains métiers vont évoluer, voire disparaître, alors autant s'y préparer dès maintenant, plutôt que d'attendre que les gens soient au chômage et complètement largués. Ça éviterait pas mal de casse, je pense.
le 14 Septembre 2025
Bon, j'ai jeté un coup d'oeil au lien de Silvanus, synthetica.fr. C'est... intéressant, disons. Beaucoup de blabla sur la "co-construction" et l'"intelligence collective", mais j'ai du mal à voir comment ça se traduit concrètement. On dirait surtout une grosse opération de comm'. Après, je suis peut-être trop cynique. Sinon, j'ai fait une petite enquête sur les exosquelettes dont parlait Silvanus. Effectivement, ça se développe, mais c'est encore hyper cher et apparemment pas toujours super fiable. Et la question de la formation pour la maintenance, c'est le gros point noir. On en revient toujours à la même chose : qui paye et qui en profite ?
le 14 Septembre 2025
DiceRoll69, ton cynisme me parle, haha. C'est vrai que le site synthetica.fr fait très 'grandes idées, petit bras'. Difficile de juger sans voir de réalisations concrètes. Et pour les exosquelettes, ton 'enquête' confirme ce que je craignais. On est encore dans une phase où les promesses dépassent la réalité, et où les questions financières et de formation restent en suspens. Un peu comme souvent, quoi.
le 14 Septembre 2025
La papesse, faut pas non plus tout voir en noir. OK, ya du blabla et des problèmes de financement, mais faut bien commencer quelque part, non ? Si on part du principe que rien n'est fiable et que tout est de la comm', on avance pas. Faut peut-être laisser une chance au produit, quoi.
le 14 Septembre 2025
Mouais, laisser une chance, c'est bien joli, mais faut pas non plus gober tout ce qu'on nous raconte. Ya une différence entre être ouvert et être naïf. Si le truc est pas fiable et que ça coûte un bras, c'est pas une question de 'chance', c'est une question de priorités. Faut voir si ça répond à un besoin réel, ou si c'est juste un gadget pour faire joli.